Après avoir rencontré son homologue sri-lankais, samedi à Téhéran, AmirAbdollahian a confirmé lors d'une conférence de presse qu'un large éventail de questions régionales, bilatérales et internationales ont été discutées, et qu'«il existe un consensus entre les deux parties pour élargir la coopération scientifique, culturelle et commerciale et bénéficier des capacités des entreprises fondées sur la connaissance».
Aujourd'hui, nous avons parlé des obstacles à la coopération entre les deux parties et nous pensons que nous pouvons éliminer ces obstacles. La question de la libération des prisonniers des deux parties a été discutée dans le cadre des accords existants, et il a été convenu de la nécessité de travailler sur la base d'une position humanitaire concernant la libération des prisonniers. En plus, il a été décidé de former une commission consulaire mixte entre les deux pays, a expliqué le chef de la diplomatie iranienne.
Amirabdollahian a également noté que le rôle du Sri Lanka en tant que nouveau président de l'Association des pays riverains de l'océan Indien (IORA) fournirait une opportunité appropriée pour la coopération de l'Iran avec les autres États membres.
L'IORA est une organisation intergouvernementale créée en mars 1997. C'est aujourd'hui une organisation dynamique de 23 membres et 11 partenaires de dialogue.
Pour sa part, le ministre sri-lankais des Affaires étrangères, Ali Sabry, a souligné la nécessité de bonnes relations avec l'Iran, déclarant : Il existe de bonnes opportunités pour de nombreuses entreprises au Sri Lanka, et nous avons été l'ami de l'Iran dans la région et à l'international, et nous voulons poursuivre notre amitié." Nous étions ensemble et nous nous sommes toujours soutenus et nous ne nous mêlons pas des problèmes internes de l'autre.
Nous allons prendre la présidence de l'IORA et c'est une opportunité d'avoir une situation multipolaire dans un monde multipolaire et l'Iran peut jouer un rôle important, a conclu Ali Sabry.
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