"Certains ressortissants iraniens sont emprisonnés et certains sont recherchés sur de fausses accusations de contournement des sanctions, en particulier aux États-Unis. C'est alors que d'autres ressortissants iraniens sont faussement accusés de se soustraire aux sanctions. Il est du devoir de la République islamique d'Iran de faire tout son possible pour obtenir la libération de ses citoyens et de ceux qui ont été innocemment emprisonnés. Nous utiliserons tous nos moyens à cet égard", a déclaré mercredi Kazem Gharibabadi, secrétaire du Haut Conseil iranien des droits de l'homme en marge d'une conférence sur les droits de l'homme intitulée "L'impact des sanctions oppressives sur la santé des patients" à Téhéran.
"Le but principal de l'échange de prisonniers entre l'Iran et les États-Unis est de libérer certains de nos citoyens qui sont en prison", a-t-il ajouté.
De plus, le porte-parole du pouvoir judiciaire, Masoud Setayeshi, en réponse à une question sur l'échange de prisonniers entre les États-Unis et l'Iran et les reportages des médias sur l'arrestation présumée d'un espion irano-américain, a déclaré mardi : « Un accord a été conclu et conformément à cet accord, un certain nombre de prisonniers seront libérés. Ces prisonniers étaient nos ressortissants qui ont été emprisonnés et piégés à l'étranger. En d'autres termes, il y a eu une prise d'otage et ces personnes innocentes ont été gardées en prison."
"La liberté de ces personnes est d'une importance particulière pour nous et ces personnes auraient dû être libérées avant. Rien ne vaut plus que la vie de nos citoyens bien-aimés. Cependant, une partie de notre argent a été prise en otage et cet argent qui a été pris à nous a également été libéré."
Le porte-parole du pouvoir judiciaire a également déclaré : « L'échange de prisonniers [avec Washington] a été fait avec tact et intelligence, l'argent gelé a également été débloqué, et les détails de la libération de cet argent ont été annoncés par le gouverneur de la banque centrale. "
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