Seyyed Ebrahim Raïssi a rencontré et discuté avec des membres de la communauté du séminaire et un groupe d'ecclésiastiques de Qom lors d'un court voyage dans la province de Qom ce lundi après-midi.
Lors de cette réunion, le président a passé en revue les conditions et les problèmes du pays au moment de l'investiture du gouvernement, notamment le déficit budgétaire, l'inflation galopante et l'ombre pesante de la liquidité sur l'économie du pays, expliquant les mesures prises par le gouvernement pour résoudre ces problèmes au cours des deux dernières années, malgré les pressions, les menaces et les sanctions de l'ennemi et a déclaré : "Pendant cette période, nous avons pu arrêter et même réduire la croissance de la liquidité dans le pays en augmentant les ressources et les revenus tout en compensant le déficit budgétaire hérité, et en nous appuyant sur les capacités nationales pour faire passer la croissance économique de 0,4 % à 4 %".
Raïssi a poursuivi en déclarant que l'alignement des ressources et des dépenses au cours de l'année 1401 malgré les dépenses telles que les crédits nécessaires à la mise en œuvre du plan de notation des enseignants de 42 000 milliards, y compris les actions importantes du gouvernement dans l'organisation et la discipline de l'économie du pays, a déclaré : "Notre volonté est sur le développement et le progrès du pays malgré les menaces et les sanctions, et l'ennemi a également reçu ce message des actions du gouvernement".
Dans une autre partie de son discours, le président a considéré les attaques sans précédent de l'ennemi contre les croyances populaires comme des signes d'échec et de désespoir dans l'arrêt du progrès du pays et a souligné les efforts du gouvernement pour résoudre les problèmes culturels.
Avant le discours du président, un certain nombre de personnes présentes à cette réunion, y compris l'ayatollah Araki, l'ayatollah Nazari Shahroudi, l'ayatollah Hosseini Khorasani, l'ayatollah Gharavi, l'ayatollah Alidoost, l'ayatollah Shab Zendehdar et Hojatoleslam val-Moslemin Agha Nazari Shahroudi, ont exprimé leurs points de vue.
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