Les sanctions sont « une sorte d'arme criminelle contre les nations » (Da Silva)

Téhéran- IRNA- Le président Raïssi a souligné lors d’une rencontre jeudi à Johannesburg avec son homologue brésilien, Lula da Silva, que la coopération entre l'Iran et le Brésil peut être encore élargie. Le président brésilien a pour sa part considéré les sanctions et les embargos comme « une sorte d'arme criminelle contre les nations qui cible les peuples des pays » victimes.

Selon l’IRNA, Seyed Ibrahim Raissi a rencontré jeudi – 24 aout - en marge du 15ème sommet du groupe BRICS, M. Lula da Silva, le président du Brésil. Tout en exprimant sa satisfaction pour la réélection du président Lula, il plaide pour l’expansion des relations bilatérales durant ce nouveau mandant de son homologue brésilien.

Faisant référence aux aveux des responsables américains concernant l'échec scandaleux de la politique de pression maximale contre l'Iran, le Ebrahim Raissi a ajouté : malgré les sanctions cruelles, les progrès de l'Iran dans le domaine scientifique et technologique sont à pas de géant.

Lors de cette réunion, le président brésilien Lula da Silva, tout en félicitant la République islamique d'Iran pour son adhésion au groupe des BRICS, a déclaré qu'il existe de nombreuses opportunités et domaines dans les domaines des échanges scientifiques, de la technologie, des expériences universitaires et des questions culturelles pour élargir la coopération et relations entre les deux pays.

Le président brésilien a considéré l'embargo comme « une arme criminelle contre les nations qui cible la population du pays sous embargo ».

Da Silva a estimé que la structure actuelle des Nations Unies était incapable d'empêcher l'empiétement des pouvoirs sur les droits des nations et, soulignant que les structures actuelles devaient être repensées, il a déclaré : « Les BRICS sont en quête de construire une nouvelle logique et un nouvel ordre économique dans le monde ». 

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