Les bombardements des avions de chasse du régime sioniste contre les cibles civiles dans la bande de Gaza ont causé plus de 950 morts et 5148 blessés. Parmi les martyrs, il y a 260 enfants et 230 femmes.
Selon France 24, des ONG internationales de médecins ont alerté mardi sur la situation sanitaire dans la bande de Gaza, pilonnée par l'armée israélienne depuis le 8 octobre, réclamant un couloir humanitaire pour appuyer la réponse médicale et le respect du droit humanitaire.
"La situation est catastrophique (...). Je ne pense pas que quiconque soit en sécurité à Gaza", a déploré Sarah Chateau, responsable du programme Palestine pour Médecins sans frontières (MSF).
L'ONU a rappelé que le siège total de la bande de Gaza par Israël est « interdit » par le droit international humanitaire, et l'Union européenne a décidé de maintenir son aide au développement destinée au peuple palestinien.
Le poste-frontière de Rafah vers l'Égypte, seule issue de la bande de Gaza qui ne soit pas contrôlée par Israël, a été bombardé trois fois par l'aviation israélienne ces dernières 24 heures, ont indiqué mardi une ONG et un photographe de l'AFP.
Des avions de combat israéliens ont bombardé une université de la bande de Gaza, ont indiqué un responsable du campus et un correspondant de l'AFP.
Les frappes sionistes ont touché des dizaines de bâtiments d'habitation, des usines, des mosquées et des magasins.
La barbarie de la région sioniste ne se limite pas seulement dans la bande de Gaza. Les policiers de cette entité terroriste ont tué hier deux civils palestiniens dans la partie Est de la ville sainte Al-Quds (Jérusalem-Est).
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