Selon le ministère de la Santé de Gaza, le nombre de morts a atteint 1 100, dont de nombreux enfants. Les attaques ont également fait près de 5 340 blessés.
Israël a pilonné les zones commerciales, les zones résidentielles et les camps de réfugiés de Gaza. Gaza est entièrement assiégée par Israël et la seule centrale électrique a été fermée en raison d'une panne de carburant.
Selon les autorités sanitaires, les hôpitaux débordés et sans électricité devront compter sur leurs générateurs de secours, qui ne dureront que deux à quatre jours.
Israël a également utilisé des bombes au phosphore blanc, interdites au niveau international, lors de ses frappes sur le quartier de Karama à Gaza.
Israël rassemble également des troupes et des chars près de la barrière séparant Gaza des territoires occupés, signalant une potentielle invasion de la bande.
Le ministère palestinien des Affaires étrangères a déclaré que les frappes israéliennes avaient détruit depuis samedi plus de 22 600 unités résidentielles et 10 établissements de santé et endommagé 48 écoles.
Le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (UNOCHA) a annoncé mercredi que le nombre de Palestiniens ayant fui leurs foyers en raison de l'agression israélienne sur la bande de Gaza a dépassé les 263 000.
L'organisation a indiqué dans un communiqué que plus de 175 486 personnes déplacées cherchent refuge dans 88 écoles de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA).
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