« L'occupation de la terre de la nation palestinienne, les massacres et le génocide des résidents et propriétaires de Palestine, la destruction des maisons et des fermes du peuple sans défense, l'attaque et la destruction de lieux religieux et islamiques, d'hôpitaux et de centres médicaux, l'infanticide, l'arrestation et la torture d'hommes, de femmes et même d'enfants. L'humiliation et l'insulte à la dignité de la nation palestinienne et des dizaines et des centaines d'actes qui violent les droits de l'homme et le droit international ne sont qu'une partie des crimes commis par le régime d'occupation de Qods contre le peuple opprimé de Palestine. Des crimes qui se poursuivent toujours », déplore la diplomatie iranienne par la voix de son porte-parole.
« Ce que l'on attendait de la réunion des ministres des Affaires étrangères du Groupe des 7 à Tokyo, c'est qu'ils assument leur responsabilité internationale, notamment en condamnant les actions du régime sioniste qui violent systématiquement les droits de l'homme et le droit international à Gaza, en cessant de soutenir les crimes de guerre et le génocide à Gaza, et essayer d'y mettre fin immédiatement. On s’attendait à ce qu’ils agissent pour mettre fin aux attaques militaires et cela sans aucune condition, pour qu’ils agissent pour la levée du blocus de Gaza et pour un libre accès de ses citoyens et résidents à l'aide humanitaire internationale », a encore déclaré le diplomate.
« Les droits de l'homme dans le système de la République islamique d'Iran et dans sa constitution et ses autres lois internes ont un statut religieux, moral et humain élevé, et les gouvernements qui conseillent à l'Iran de respecter les droits de l'homme devraient revoir leur bilan noir en matière de droits de l'homme et également, mettre fin à la honte du soutien à l’infanticide, aux crimes de guerre et au génocide du régime sioniste à Gaza », a insisté le porte-parole de la diplomatie iranienne déplorant toujours la déclaration irresponsable et complice du G7 à Tokyo émise en guise du soutien au régime d’apartheid de Tel-Aviv.
Votre commentaire