Le vice-ministre des Affaires étrangères du gouvernement de salut national du Yémen, Hussein Al-Ezzi, a écrit sur X (ex-Twitter) : « La navigation en mer Rouge reste sûre pour tous les pays, à l’exception des navires du régime criminel sioniste. »
« Cette insécurité pour les navires du régime sioniste perdure jusqu'à la fin des crimes commis contre les enfants et les civils innocents à Gaza » a-t-il ajouté.
À la suite d'une série d'événements sur la même route maritime, un pétrolier lié à une société israélienne a été arraisonné, dimanche, au large des côtes du Yémen, selon l'organisation de sécurité maritime Ambrey.
Le vice-premier ministre chargé des affaires de défense et de sécurité du gouvernement de Sanaa au Yémen, Jalal al-Rowaishan, a déclaré que la trêve humanitaire temporaire entre la Résistance palestinienne et Israël n'affectera pas la décision du gouvernement de fermer la mer Rouge aux navires israéliens.
Depuis le début de l’épopée du « Déluge d’Al-Aqsa », les forces armées yéménites ont annoncé dans les premiers jours leur rejet de l’agression israélienne à Gaza, exigeant la fin des crimes israéliens. Quelques jours après le début de l’agression, les forces yéménites ont lancé des missiles balistiques et des marches vers « Israël » à plusieurs reprises pour soutenir la résistance palestinienne face à l'occupation.
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