Selon un rapport de l’IRNA publié vendredi 22 décembre citant le ministère palestinien de la Santé, depuis le 7 octobre, 53 320 personnes ont été blessées dans la bande de Gaza dans l'agression meurtrière du régime sionistes contre l’enclave palestinienne assiégé.
Selon ce communiqué, 390 Palestiniens ont été tués et 734 autres ont été blessés au cours des dernières 48 heures, alors même que la communication et Internet étaient coupés dans la bande de Gaza.
Les bombardiers du régime sioniste ont visé diverses zones de la bande de Gaza, dont le camp de Jabalia, au nord de la bande de Gaza, et selon les médias palestiniens, les efforts pour extraire les corps des martyrs et des blessés des décombres se poursuivent.
Le ministère palestinien de la Santé avait précédemment annoncé le nombre de martyrs à 19 902 et le nombre de blessés à 55 000. Le ministère a souligné que 70 % des victimes sont des femmes et des enfants et que des milliers de personnes sont toujours portées disparues.
Selon ce rapport, jusqu'à présent, 310 membres du personnel médical, 35 membres des forces de défense civile, 97 journalistes et 136 membres du personnel de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies (UNRWA) ont été tués par Israël.
Le ministère palestinien de la Santé a également annoncé qu'environ 1 900 000 personnes, soit environ 90 % de la population de Gaza, ont été déplacées dans cette zone, et les noms de 1 200 d'entre elles ont été enregistrés dans 154 centres de l'UNRWA dans toute la bande de Gaza. Environ le nom d’un million d'entre eux ont été enregistrés dans 94 bureaux au sud de la bande de Gaza.
Selon ce rapport, environ 280 unités résidentielles, soit plus de 60% du secteur résidentiel de la bande de Gaza, ont été complètement ou partiellement détruites et, en raison des bombardements et des attaques continus du régime sioniste, les statistiques définitives sur les unités et les bâtiments détrits ne sont pas disponibles.
Le rapport du ministère palestinien de la Santé indique qu'environ 44 % des ménages palestiniens à Gaza souffrent de faim extrême. De plus, les bébés n’ont pas accès au lait en poudre, ce qui a aggravé la crise de santé publique.
Ce rapport souligne que le manque d'accès à l'aide et au personnel médical à l'hôpital Kamal Adwan et le bombardement des centres médicaux par le régime sioniste constituent une menace pour les personnes ayant besoin de soins et d'assistance médicale. A cela s’ajoute la fermeture de l'hôpital et le manque de traitement, ce qui a entraîné une grave crise dans le domaine de la santé publique, affectant davantage les couches les plus faibles.
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