Albanese a déclaré dans un communiqué, après la déclaration du ministre des Affaires étrangères du régime sioniste de ne pas renouveler les visas des employés de l'ONU : « L'ONU a été affaiblie par des décennies d'impunité pour les violations du droit international, y compris la colonisation des territoires palestiniens occupés et les déplacements forcés. », selon l’agence de presse SABA citant WAFA.
Elle a déclaré : « Les Nations Unies doivent tenir Israël pour responsable s'il veut sauver sa réputation et son objectif », soulignant que « personne ne peut être libre si tout le monde n'est pas libre ».
La rapporteuse de l'ONU a appelé à un cessez-le-feu, à une protection totale, à la reconstruction, à la fin de l'occupation et à la justice.
Il convient de noter qu'Albanese a été attaquée en avril dernier par l'organisation israélienne « Forum juridique international », exigeant qu'elle mette fin à son travail, en raison d'une déclaration publiée dans laquelle elle déclarait : « Les pertes en vies humaines dans les territoires palestiniens occupés et en Israël sont dévastatrices surtout à une époque où il devrait y avoir la paix pour tous, chrétiens, juifs et musulmans.
Human Rights Watch a également condamné l'assassinat des civils par l'armée sioniste à Gaza.
"L'impunité alimente les comportements illégaux. Selon nos informations, le régime sioniste n'a tenu personne pour responsable pour les violations commises pendant la guerre de décembre 2008 à janvier 2009.", souligne l’organisation onusienne.
Elle a ajouté : « L'impunité généralisée pour les crimes internationaux graves commis par l'armée israélienne souligne l'importance de l'enquête en cours de la CPI. »
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