Dans un verdict rendu le 22 octobre, le tribunal révolutionnaire de Téhéran a condamné Elahe Mohammadi et Niloofar Hamedi à respectivement 12 et 13 ans d'emprisonnement.
Ils ont été temporairement libérés après avoir payé leur caution en attendant leur verdict en appel. Il leur est toutefois interdit de quitter le pays.
L’article 131 du Code pénal islamique iranien exige que dans les crimes punissables, si un seul comportement porte plusieurs titres criminels, l'auteur sera condamné à des peines sévères et puisque l'accusation principale des deux est d'avoir des liens avec le gouvernement américain, si la cour d'appel confirme le jugement initial, Niloofar Hamedi et Elahe Mohammadi seront respectivement condamnés à sept et six ans de prison.
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