Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein AmirAbdollahian a considéré le régime israélien comme le principal complice des mouvements terroristes et l’ennemi numéro un de la sécurité régionale et a déclaré : « Il ne fait aucun doute que la défaite des sionistes contre la volonté de la population de Gaza ne peut être compensée par des actes terroristes aussi lâches. »
« L'activité des conseillers militaires iraniens se poursuivra avec force pour lutter contre le terrorisme et assurer la sécurité de la région » a-t-il souligné.
Le président iranien Ebrahim Raïssi a fermement condamné l’assassinat de cinq conseillers du Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI), lors d’une frappe de missile israélien en Syrie, affirmant que de tels actes « lâches » ne resteront pas sans réponse.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kaanani, a condamné dans les termes les plus fermes l'assassinat de cinq conseillers militaires du CGRI, lors d'une frappe israélienne en Syrie, affirmant qu'il se réserve le droit de répondre au « terrorisme organisé » du faux régime israélien.
Les conseillers militaires iraniens et plusieurs forces syriennes ont perdu la vie après que le régime israélien a mené une frappe aérienne, samedi 20 janvier, contre un immeuble résidentiel dans le quartier d’al-Mezzeh à Damas.
« Une fois de plus, le régime sioniste barbare et criminel a lancé une agression contre la ville de Damas, et un certain nombre des membres des forces syriennes et quatre conseillers militaires de la République islamique d’Iran sont tombés en martyrs lors du raid aérien mené par des avions de combat des forces du régime usurpateur », indique le communiqué du CGRI.
Le Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI) iranien a annoncé, samedi soir, que le nombre de ses conseillers militaires tombés en martyrs dans une attaque terroriste perpétrée par le régime israélien en Syrie est passé à cinq.
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