137 jours après le début de l’agression criminelle d’Israël contre Gaza, les familles des prisonniers critiquent le régime sioniste pour son échec dans la libération de leurs proches. Les manifestations anti-Netanyahou qui secouent Israël depuis le 7 octobre, commencent désormais à s’accélérer à cause des efforts des familles des prisonniers.
A Tel-Aviv et Al-Quds samedi, ce sont ces familles qui ont manifesté – désormais une tradition hebdomadaire. Ils exigent un accord avec le Hamas pour obtenir la libération des 134 prisonniers toujours en captivité à Gaza.
Selon le site Observatoire de l’Europe, les manifestants en Israël se sont dits furieux de la décision de Netanyahu de ne pas envoyer de représentant au Caire, la capitale égyptienne, pour des négociations sur la fin du conflit à Gaza.
Le groupe palestinien Hamas a déclaré qu’il libérerait les prisonniers restants en échange d’un cessez-le-feu total – ce que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a exclu.
Lors des affrontements entre la police israélienne et les protestants, les forces de l’ordre ont arrêté plusieurs manifestants.
Selon une lettre d’Irvani adressée au président du Conseil de sécurité de l’ONU, Téhéran respecte les
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