Les médias en France sont largement dirigés et financés par le lobby pro-israélien. Les célèbres visages comme Dov Alfon, directeur de la rédaction de la Libération, constituent un réseau de contrôle qui domine la propagande sioniste en France.
De la nationalité franco-israélienne, Dov Alfon, ancien rédacteur en chef du Haaretz et membre de l’Unité 8200 de l’armée d’occupation, dirige l'un des quotidiens le plus distingué de la France. C’est une honte pour la culture française que le journal fondé par un grand intellectuel et penseur comme Jean-Paul Sartre est sous contrôle d’un régime criminel.
C’est le groupe Altice Média qui finance la Libération. Une holding sioniste dirigée par Arthur Dreyfuss issu d’une grande famille influente séfarade en France.
Les figures connues comme Alain Weill et Patrick Drahi sont deux actionnaires principaux du groupe Altice Média. M. Drahi possède même la nationalité israélienne. Il est propriétaire de la chaîne i24News.
La caricature de la Libération est signée par Coco, ancienne dessinatrice de Charlie Hebdo, connue pour ses agressions contre les croyances religieuses. Le message de la caricature anti-Gaza est directement une insulte contre l’Islam.
Le hashtag #Ramadan est la première tendance en France. Il a même dépassé Oscars 2024. Dans une telle ambiance où les musulmans et même les non-musulmans partage des images de félicitations pour célébrer ce mois sacré dans le monde entier, la publication d’une telle caricature islamophobe est contre le professionnalisme dans le monde du journalisme.
La Libération, qui avait une tendance à gauche et critiquait l’impérialisme liberticide, est instrumentalisée par les groupes sionistes non-français. La publication de cette caricature est une honte pour le journalisme français, une offense contre la liberté de religion, une agression contre la laïcité française, garantie par la Constitution de la Ve République. L’héritage culturel de la liberté défendue par Sartre est menacé par le lobby sioniste.
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