S’adressant à la 55ème session du Conseil des droits de l'homme à Genève, Askar Jalalian, vice-ministre iranien de la justice chargé des affaires internationales a évoqué que plus de 13 000 enfants palestiniens ont perdu la vie à cause des crimes de l'occupation sioniste.
Les enfants sont les personnes les plus vulnérables de la société qui sont affectées par des circonstances telles que les mesures coercitives unilatérales, les déplacements, la violence et les abus, a-t-il déploré.
Il a ajouté que la dignité et les droits des enfants devraient être reconnus en donnant la priorité à leur soutien et à leur protection contre toute forme de violence.
Il a évoqué les mesures importantes prises par la République islamique d'Iran pour lutter contre la violence à l'égard des enfants et promulguer des lois positives et efficaces dans ce domaine, ajoutant que divers programmes et initiatives avaient été élaborés et mis en œuvre pour lutter contre la violence à l'égard des enfants.
Il existe divers services et centres de soutien de grande envergure pour venir en aide aux enfants, a-t-il ajouté.
L'Iran a fourni des services de soutien similaires aux enfants migrants à l'intérieur de ses frontières, y compris l'accès à l'éducation, aux soins de santé, à l'aide sociale et à la protection juridique pour sauvegarder leurs droits, a-t-il ajouté.
Les enfants de Gaza ont continuellement été confrontés à toutes sortes de violences en raison des crimes de l'entité sioniste, et qu'en conséquence de ces crimes, plus de 13 000 enfants de Palestine ont perdu la vie au cours des cinq derniers mois. Il est très difficile et douloureux de parler de la situation des enfants en Palestine. Il est très difficile et douloureux de parler de la situation actuelle en Palestine, où des enfants innocents sont brutalement massacrés sous les yeux de leurs parents. Le régime sioniste d'apartheid se sentait complètement abandonnée et soutenue dans la perpétration de crimes sans précédent contre les enfants et les personnes déplacées, a expliqué le diplomate iranien à la tribune de la 55ème session du Conseil des droits de l'homme à Genève.
L'Iran met en garde contre les effets néfastes et généralisés des conflits armés sur les enfants, avec des conséquences à court et à long terme, et estime que les effets négatifs des conflits armés sur les enfants pourraient se manifester sous diverses formes et être durables, a réitéré le responsable iranien, qui s’est dit inquiet de l'impact des mesures coercitives unilatérales et des sanctions sévères sur la capacité économique des gouvernements à soutenir les enfants et à allouer des ressources à leur développement.
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