Behrouz Kamalvandi, porte-parole et adjoint aux affaires internationales, juridiques et parlementaires de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, a déclaré : « Les sanctions sont devenues un point fort pour le pays et pour l'industrie nucléaire, car sous l'influence de ces conditions, nous avons essayé de tenir debout et maintenant, en plus de combler les besoins du pays, nous sommes également devenus exportateurs de divers produits radiopharmaceutiques. »
Décrivant le projet de la République islamique pour construire des nouvelles centrales nucléaires, ce responsable iranien a ajouté : « Il existe aujourd'hui environ 500 centrales nucléaires dans le monde et le nombre de ces centrales devrait être porté à 1 500 d'ici 2050, et la part de l'Iran dans ce nombre devrait être d'au moins 10 à 12 centrales. Nous devons renforcer la sécurité énergétique du pays, et pour atteindre cet objectif, nous devons diversifier le portefeuille énergétique de l’Iran. »
Votre commentaire