Nasser Kanaani a considéré cette attaque comme une violation flagrante des réglementations internationales, notamment de la Convention de Vienne de 1961 sur les relations diplomatiques.
« La République islamique d'Iran, tout en se réservant le droit de prendre des contre-mesures, décide du type de réaction et de punition de l'agresseur. », ajoute le haut diplomate iranienne.
« Les dimensions de cette attaque haineuse font l’objet d’une enquête et la responsabilité de ses conséquences incombe au régime sioniste agresseur. », souligne le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères.
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