Cérémonie d'ouverture des JO: Emmanuel Macron évoque les alternatives au défilé sur la Seine en cas de menace

Téhéran (IRNA)- « Si on pense qu’il y a des risques, en fonction de l’analyse qu’on fera du contexte, on a des scénarios de repli. Il y a des plans B et même des plans C, et on les prépare en parallèle. On a une cérémonie qui est limitée, par exemple, au Trocadéro, voire qui rapatrierait dans le stade de France, la cérémonie, parce que c’est ce qu’il se fait dans d’autres pays, a affirmé le président français à 100 jours des JO.

Pas de bannière neutre pour les athlètes israéliens : « Israël, c’est tout l’inverse de la Russie. Le pays a été victime d’une attaque terroriste sur son sol », affirme Emmanuel Macron. « Elle répond à cette attaque terroriste en luttant contre le Hamas, groupe terroriste, après Israël aujourd’hui à Gaza, dans la réponse, par ses bombardements tus des civils, c’est pour ça que nous demandons une trêve ». Avec la Russie, « la distinction est très claire » : « On ne peut pas dire qu’Israël soit attaquant », indique le chef de l’État.

En cas de menaces, une cérémonie d’ouverture au Trocadéro ou Stade de France

« Si on pense qu’il y a des risques, en fonction de l’analyse qu’on fera du contexte, on a des scénarios de repli », affirme encore le président. « Il y a des plans B et même des plans C, et on les prépare en parallèle ». « On a une cérémonie qui est limitée, par exemple, au Trocadéro, voire qui rapatrierait dans le stade de France, la cérémonie, parce que c’est ce qu’il se fait dans d’autres pays ».

« On mobilise pour ces jeux, environ 30 000 forces de l’ordre tous les jours, et ce sera plus pour la cérémonie d’ouverture. On a aussi de la sécurité privée en complément, et elle va avoir un rôle important à jouer (…) ils seront 27 000 et environ 20 000 par jour », indique le président. « Nos militaires sont mobilisés, un peu en mode sentinelle, de sécurisation d’emprise, de patrouille, mais pas de forces spéciales. Ce sont des modes d’intervention qu’on n’utilise pas sur le sol français, car on neutralise l’ennemi. Nos forces spéciales vont continuer à se projeter à l’extérieur ».

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