Le Washington Post, citant un porte-parole de Google, l'a confirmé et a écrit que l'entreprise avait licencié davantage d'employés après avoir poursuivi son enquête sur les manifestations et les sit-in du 16 avril à l’initiative d’un groupe à l'origine du mouvement, No Tech For Apartheid, dans les bureaux de Google à New York et à Sunnyvale, en Californie.
Ce licenciement intervient quelques jours après que le PDG de Google, Sundar Pichai, a déclaré dans une note interne que les employés ne devraient pas utiliser l'entreprise comme un « forum personnel » ou « se battre sur des questions préjudiciables ou des débats politiques »
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