Fuite des colons des territoires occupés : l'ancien premier ministre du régime sioniste préoccupé

Téhéran- IRNA- L'ancien Premier ministre du régime sioniste, Naftali Bennett, a exprimé son inquiétude face à la fuite des sionistes de la Palestine occupée (Israël), et leur a demandé de ne pas quitter les terres occupées en raison des conditions actuelles auxquelles est confronté le régime en décadence.

Selon le reportage d'Al-Jazeera diffusé jeudi matin 27 juin par IRNA, Bennett a déclaré que l’entité sioniste est actuellement dans la situation la plus difficile et qu’ils sont en train de perdre la guerre et d'être confrontés à des sanctions internationales couplées à l'isolement.  

Evoquant le sort des captifs, il a ajouté que 120 Israéliens sont toujours « en otages » et que des milliers de familles sont endeuillées.  

Al-Jalil a été abandonné et des milliers de personnes ont été déplacées, mais même dans cette situation, les ministres israéliens ne pensent qu'à eux-mêmes. « Le contrôle de l'économie a été perdu et nous sommes confronté à un déficit budgétaire ». 

L'ancien Premier ministre du régime sioniste a reconnu que l’Occupation est aujourd’hui dans le gouffre et que la seule chose qui l’inquiète, ce sont les dires concernant le départ des terres occupées. 

Finalement, il a demandé aux sionistes de ne pas quitter la Palestine occupée (Israël) et d’y rester. 

Après environ 9 mois de la campagne génocidaire du régime sioniste visant la bande de Gaza sous blocus, qui n’a mené à aucun résultat ni à réalisation des promesses données par le premier ministre Benyamin Netanyahu, ce régime s'enfonce de plus en plus dans ses crises internes et externes. 

Durant cette période, le régime sioniste n’a réalisé rien d’autre que des crimes, des massacres, des destructions, des crimes de guerre, des violations des lois internationales, des bombardements d’organisations humanitaires et une famine dans cette région. 

Le régime israélien a perdu cette guerre, dans une erreur de calcul, et même après environ 9 mois, il n'a pas été en mesure de contraindre les groupes de Résistance, basée dans une petite zone assiégée depuis des années, à se rendre. Il a même perdu le soutien de l'opinion publique mondiale en raison de ces crimes manifestes et barbares en cours dans la bande de Gaza.

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