L'état des prisonniers libérés confirme le comportement criminel du gouvernement d'occupation fasciste (Hamas)

Téhéran (IRNA)- Le Mouvement de la résistance islamique (Hamas) a affirmé que l'état des prisonniers libérés aujourd'hui par l'armée d'occupation fasciste, leurs signes d'émaciation, d'épuisement physique et psychologique, et les signes évidents de torture, confirment le comportement criminel du gouvernement d'occupation fasciste, qui défie toutes les lois humanitaires et commet quotidiennement des crimes de guerre sans aucune dissuasion.

Dans une déclaration, le Hamas a fait référence à ses témoignages poignants sur les conditions tragiques dans lesquelles les détenus de la bande de Gaza, y compris les médecins, les personnes âgées, les malades et les blessés, sont soumis aux pires pratiques et crimes, y compris la torture, la famine et l'humiliation, dans les centres de détention de l'occupation.

Dans un communiqué de presse publié lundi, le mouvement a souligné que les crimes continus contre des civils non armés dans la bande de Gaza, qui ont dépassé toutes les limites, et ce que les prisonniers subissent dans les prisons de l'occupation et les détenus dans les centres de détention de son armée terroriste, sont exécutés sur décision du gouvernement d'occupation dans le cadre de sa politique fasciste de ciblage et d'extermination du peuple palestinien, avec la couverture totale de l'administration américaine, qui est complice de violations flagrantes des lois internationales, au vu et au su de l'ensemble du monde.

Le mouvement a appelé la communauté internationale, les Nations unies et leurs institutions à prendre des mesures immédiates pour mettre fin à ce massacre perpétré par le gouvernement d'occupation nazi et pour protéger les prisonniers, les détenus et les civils dans les zones de conflit.

Il a appelé le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à agir et à révéler le sort des milliers de détenus palestiniens enlevés par l'armée d'occupation dans la bande de Gaza et disparus de force dans des conditions inhumaines.

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