A cinq jours du second tour des élections législatives, la tension monte entre le Rassemblement National et le camp présidentiel. S’exprimant sur France inter, Marine Le Pen a accusé Emmanuel Macron, mardi 2 juillet, de mener un « coup d’État administratif », alors que le chef de l’État français place ses hommes, usant jusqu’au dernier instant de son droit de nomination, rapporte Le Monde.
Le gouverneur militaire de Paris, le nouveau chef d’état-major de l’armée de l’air, le nouveau directeur de l’Union européenne au ministère des Affaires étrangères, ainsi que trois ambassadeurs, ont notamment été désignés lors du Conseil des ministres du 26 juin.
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