Lors d’une rencontre avec le chef du Conseil iranien des droits de l’homme, Bachir Biazar a décrit le mauvais état du centre de détention en France et a remercié les services iraniens des droits de l'homme pour sa libération.
L’activiste médiatique a déclaré : « Je n'ai violé aucune loi en France et je ne connais pas la raison de mon arrestation. J'ai été détenu pendant 30 jours et la veille de ma libération, ma femme a été renvoyée en Iran alors qu'elle était étudiante en France et n'avait pas reçu l’Obligation de quitter le territoire français (OQTF). »
Kazem Gharibabadi, secrétaire du Conseil iranien des droits de l'homme a également déclaré lors de cette réunion : « L'une des principales tâches et responsabilités du Conseil des droits de l'homme et de la direction des affaires internationales du pouvoir judiciaire d'Iran est de soutenir et de défendre les ressortissants iraniens partout dans le monde. »
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