6 août 2024, 20:58
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Nous donnerons une réponse forte, efficace et percutante à Israël (Nasrallah)

Téhéran (IRNA)- Le secrétaire général du Hezbollah, Sayyed Hassan Nasrallah, a souligné que le Hezbollah répondra, que l'Iran répondra, que le Yémen répondra et que l'ennemi attend, observe et compte chaque cri comme une réponse.

Discours télévisé de Hassan Nasrallah, prononcé une semaine après l'assassinat de Fouad Shukr par Israël : les déclarations à retenir

  • L'ennemi peut avoir recours à une brèche dans le mur du son au-dessus de Dahiya afin d'effrayer les participants au festival, et si cela se produit, nous répondrons par le slogan approprié.
  • Nous avons des fils et des petits-fils de la première génération de dirigeants qui sont sur les fronts de la résistance, qui combattent et avancent dans l'arène du djihad, et c'est là que réside notre force pour continuer, car l'attaque contre les grands dirigeants n'affectera pas notre détermination à poursuivre le chemin.
  • Le champ central de la bataille actuelle est la Palestine et la bande de Gaza, auxquelles s’ajoutent également les fronts de soutien.
  • Il est clair que Netanyahou ne veut pas arrêter la guerre.
  • Le projet israélien en Cisjordanie consiste à achever la colonisation, à déplacer les Palestiniens vers la Jordanie et, plus tard, à annexer la Cisjordanie.
  • Il y a un projet sioniste qui dit qu'il n'y a pas d'État palestinien, alors que le projet du Front de résistance est la Palestine de la mer à la rivière, et tous les projets au milieu seront dissous parce qu'ils n'ont pas d'avenir et sont irréalistes.
  • Les États-Unis sont restés silencieux pendant 31 ans et leur discours sur la création d'un État palestinien est un mensonge et une hypocrisie, car tout vote sur un État palestinien au Conseil de sécurité se heurte au veto des États-Unis, et les États-Unis trompent le monde en disant qu'ils ne sont pas satisfaits de la performance de Netanyahou pendant la guerre et qu'ils s'efforcent de faire pression sur lui, ce qui est un mensonge, car ils lui fournissent des tonnes d'armes.
  • Si la résistance à Gaza est vaincue, et elle ne le sera pas, Israël ne laissera aucun sanctuaire islamique ou chrétien, pas plus que la Palestine, la Jordanie et son régime au pouvoir, la Syrie et même l'Égypte.
  • Tous les peuples de la région doivent se fixer pour objectif d'empêcher Israël de gagner cette bataille et d'éliminer la résistance et la cause palestinienne.
  • Il a appelé la résistance à Gaza et en Cisjordanie, fondée sur le partenariat dans le sang, le djihad, l'avenir et les gens honorables à faire preuve de plus de patience et de constance, et a appelé les fronts de soutien au Liban, en Irak et au Yémen à continuer de soutenir Gaza malgré les sacrifices.
  • Le martyre du commandant Ismail Haniyeh est une grande perte pour la résistance palestinienne et le peuple palestinien.
  • Le martyre du commandant Ismail Haniyeh n'a pas affaibli la résistance palestinienne.
  • Ces assassinats ont rendu la situation de l’ennemi plus difficile parce que les opérations antisionistes en Cisjordanie se sont étendues et que la migration inverse depuis les territoires occupés s’est développée. En outre, l’ennemi a subi de nombreuses pertes économiques dans tous les domaines.
  • Israël, qui en 1967 et 1973 a combattu les armées les plus puissantes de la région, a maintenant peur de la réponse iranienne et de la réponse du Hezbollah et compte sur les pays occidentaux et les États-Unis pour le défendre.
  • Les marches du Hezbollah ont atteint l'est de la ville d'Acre bien que les radars israéliens et les satellites américains soient en état d'alerte par crainte d'une riposte.
  • L'Iran, le Hezbollah et le Yémen réagiront après l'assassinat de Haniyeh et de Shaker et le bombardement d'al-Hodeidah.
  • La réponse du Hezbollah à Israël sera une réponse forte, efficace et effective, et entre nous et eux, il y a des jours, des nuits et des champs.
  • L'état de tergiversation dans lequel se trouve Israël aujourd'hui fait partie de la bataille et a recouvert les sionistes d'une ombre de peur.
  • Nous sommes très attachés au Liban et portons ce fardeau directement, et nous ne pouvons pas considérer l'agression de mardi dernier comme normale dans le contexte de la bataille.
  • Le choix de l'ennemi de s'engager dans une guerre étendue est une décision difficile et compliquée, et les choses ne sont pas si simples. Ce que l'ennemi a dans le nord, nous pouvons le cibler en une demi-heure.

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