Plus loin dans sa déclaration, le Mouvement du Jihad Islamique Palestinien a ajouté : Le régime occupant veut imposer son contrôle total sur les terres palestiniennes.
Selon l’IRNA, malgré les appels internationaux en faveur d'un cessez-le-feu à Gaza et les efforts des médiateurs, dont l'Égypte, les États-Unis et le Qatar, pour arrêter les hostilités et accepter l'échange de prisonniers, Tel-Aviv poursuit ses attaques meurtrières contre les Palestiniens de la bande de Gaza. Jusqu'à présent, les négociations entre le Hamas et Israël avec la médiation de l'Égypte et du Qatar et la participation des États-Unis, allié et complice d’Israël dans ces attaques, pour établir un cessez-le-feu à Gaza et l'échange de prisonniers entre les deux parties n'ont abouti à aucun résultat.
La réunion à Doha, au Qatar, s'est tenue les jeudi 15 et vendredi 16 août 2024, afin de reprendre les négociations pour parvenir à un accord de cessez-le-feu à Gaza et à l'échange de prisonniers en présence des États-Unis, de l’Égypte, du Qatar et Israël.
Après cela, les pourparlers de cessez-le-feu à Gaza au Caire se sont terminés sans parvenir à un accord le 25 août et le Hamas et Israël n'ont pas accepté plusieurs articles présentés par les médiateurs. Pourtant la Maison Blanche affirme que les pourparlers du Caire ont eu lieu au Caire et que des groupes de travail s’en occupent toujours.
Le 7 octobre 2023, les groupes de Résistance palestinienne ont lancé depuis Gaza (sud de la Palestine) une opération surprise baptisée « Déluge d’Al-Aqsa » contre les positions du régime israélien.
Après 45 jours de combats, le 24 novembre 2023, un cessez-le-feu temporaire de quatre jours a été établi entre Israël et le Hamas. Il s’agissait d’une pause pour l'échange de prisonniers entre le Hamas et Israël. La trêve a duré sept jours et a finalement pris fin le 1er décembre 2023, et le régime israélien a repris ses attaques sur la bande de Gaza sous son blocus depuis 2007.
Plus de 11 mois se sont écoulés depuis l'attaque du régime israélien, une grande partie de la bande de Gaza a été détruite au milieu d'un siège paralysant et du blocage de l'entrée de nourriture, d'eau potable et de médicaments.
Israël a été accusé de crime de génocide devant la Cour internationale de Justice (CIJ). Le tribunal a ordonné au régime israélien de cesser immédiatement ses attaques contre la ville méridionale de Rafah, frontalière avec l’Egypte, où plus d'un million de Palestiniens s'étaient réfugiés avant l'offensive du 6 mai.
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