Chrystia Freeland, qui est également ministre des Finances, dans sa lettre de démission adressée au Premier ministre canadien et diffusée sur X. « Aujourd'hui, notre pays est confronté à un grand défi. La nouvelle administration américaine poursuit une politique de nationalisme économique agressif », explique-t-elle.
Elle était considérée comme le bras droit du Premier ministre
Selon RFI, pour Freeland, c’est l’occasion de prendre ses distances avec un gouvernement en chute libre dans les sondages, et de se positionner pour l’après Justin Trudeau.
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