La date butoir pour que le régime sioniste quitte cette zone, dans le cadre de l'accord de cessez-le-feu, était fixée à dimanche 26 janvier.
Depuis fin novembre, Israël a violé l’accord de cessez-le-feu plus de 630 fois.
L'application correcte de l'accord était censée être supervisée par les États-Unis et la France.
Mais en violant l'engagement pris par Washington envers Beyrouth, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche a annoncé : « L'objectif de toutes les parties est que le Hezbollah n'ait pas la capacité de menacer le peuple du Liban ou de ses voisins. Pour atteindre ces objectifs, une prolongation temporaire et à court terme du cessez-le-feu est nécessaire. »
Le Hezbollah libanais avait précédemment publié une déclaration soulignant la fin prochaine de la période de cessez-le-feu de 60 jours et la nécessité pour les troupes de l'armée israélienne de se retirer des terres libanaises, soulignant que tout le monde devrait faire pression sur le régime d'occupation pour qu'il se retire des terres libanaises.
Dans cette zone, les habitants de plusieurs villages chrétiens sont également en colère contre les crimes continuels des forces sionistes.
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