Selon le reportage de l’IRNA diffusé vendredi soir 28 février, sur la chaîne Al-Masirah, Sayyed Abdul-Malik Al-Houthi a déclaré : « Le refus de l'ennemi de se retirer de l'axe de Rafah constitue une violation claire des accords passés entre l'Egypte et l'ennemi sioniste. »
Il a ajouté : « Le non retrait des occupants à se retirer de l'axe de Rafah représente une menace dangereuse pour le peuple palestinien et le peuple, le gouvernement et l'armée égyptiens. »
Le chef du mouvement Ansarallah a souligné : « L'ennemi n'a pas rempli une grande partie de ses engagements, notamment dans le domaine humanitaire, et se dérobe également à ses autres engagements, notamment celui de se retirer de l'axe de Rafah. »
Al-Houthi a renchéri : « L'ennemi sioniste ne s'est pas non plus complètement retiré du Sud-Liban, ce qui constitue une occupation et une menace pour la nation libanaise et une violation de la souveraineté du Liban. »
Il a ajouté : « Le régime sioniste progresse dans trois provinces du sud de la Syrie et occupe chaque jour davantage de territoires. »
Et d’ajouter : « L’Amérique et le régime d’Occupation sioniste traitent la nation islamique avec une grossièreté et une impertinence sans précédent à ce stade, mais si la nation islamique adopte la bonne position et intervient avec la responsabilité, elle peut affronter l’ennemi. »
« Lorsque Trump a menacé de libérer les prisonniers sionistes samedi, nous étions prêts à entrer en guerre et à intervenir militairement », a-t-il encore ajouté.
Il a poursuivi : « Lorsque les prisonniers israéliens n’ont pas été libérés à la date fixée par Trump, il savait que la situation n’était pas comme il le souhaitait et qu’il ne pouvait pas imposer ce qu’il voulait. »
« S’agissant de cette guerre et des rapports de force, nous étions dans une très bonne position et nous y étions très impliqués, mais tout n’est pas encore terminé et nous devons être prêts», a conclu le Leader d’Ansarallah du Yémen.
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