Selon le rapport publié ce mercredi 5 mars par l’IRNA, Mohsen Naziri-Asl a également évoqué les massacres massifs perpétrés par ce régime à Gaza au cours des quinze derniers mois. Il a qualifié la crise humanitaire qui y sévit de « génocide manifeste » et de « crime contre l’humanité ».
« L’ironie tragique du XXIᵉ siècle, c’est que le régime israélien, qui n’a jamais rejoint aucun traité sur les armes de destruction massive et possède des centaines d’armes nucléaires, prend la parole dans cette instance pour évoquer le respect des normes internationales par un État signataire du Traité sur la non-prolifération », déplore le diplomate.
La session trimestrielle du Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a débuté lundi 13 Esfand 1403 du calendrier iranien (soit le 3 mars 2025) à Vienne. L’examen des activités nucléaires de l’Iran, dans le cadre de l’Accord global de garanties et de la résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations unies, figure à l’ordre du jour de cette réunion.
Lors de la session consacrée à la vérification et à la surveillance en République islamique d’Iran à la lumière de la résolution 2231 (2015) du Conseil de sécurité de l’ONU, l’ambassadeur iranien a répondu aux accusations du représentant du régime sioniste avant de lire la déclaration officielle de la République islamique d’Iran.
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