Même les pays comme la Russie et l’Allemagne (avec des langues moins parlées que le français) ont une position plus avancée que la France dans le classement mondial des pays d’accueil des étudiants étrangers.
Les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Australie, le Canada, l'Allemagne et la Russie sont les 6 premières destinations pour les étudiants internationaux.
Aujourd’hui, moins de 300 000 jeunes étrangers ont choisi la France comme destination. Et 50 % de ces jeunes viennent des pays maghrébins ou africains. Seulement 22 % de ces étudiants étrangers sont d’Asie et 19 % de pays européens.
Les plans anti-immigration du régime de l’Elysée, les problèmes de Visa imposés par les entreprises privées comme VFS, les coûts du logement, les difficultés de renouveler le titre de séjour, le regard politique dans l’étude des dossiers, la structure gouvernementale et dépendante des universités françaises, et la dégradation de la position de la langue française sont parmi les premières raisons de cette crise académique.
La condition est encore pire pour les étudiants iraniens qui envisagent de suivre leurs études en France. Les échanges universitaires sont presque au niveau zéro à cause des mesures du régime français contre le peuple iranien.
La stratégie « Bienvenue en France », lancée en 2019 et destinée à attirer un demi-million d'étudiants d'ici 2027, a déjà échoué.
La France perd son rayonnement culturel dans le monde avec les gouvernements qui suivent aveuglément les politiques unilatéralistes de l’axe américain.
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