La Journée internationale d'Al-Qods en Afrique du Sud a réuni un grand nombre de défenseurs africains des droits de l'homme. Les participants ont réaffirmé leur soutien aux droits des Palestiniens et condamné les crimes israéliens.
Hier, à la grande mosquée des « Tidjanis » à Ouagadougou, à l'occasion de la Journée internationale d’Al-Quds, Mojtaba Faghihi, l'ambassadeur de la République islamique d'Iran au Burkina Faso, a déclaré dans son discours : « L'imam Khomeiny a nommé le dernier vendredi du Ramadan Journée internationale d'Al-Quds pour souligner l'importance du soutien des musulmans du monde entier à la liberté de la Palestine. »
Hier soir, une autre cérémonie a été organisée au Burkina Faso à l'occasion de la Journée internationale de Quds avec la présence de professeurs et d'étudiants de la branche locale de l’université Al-Mustafa. Outre l'ambassadeur de la République islamique d'Iran, plusieurs religieux et professeurs burkinabés ont également prononcé des discours. Tout en honorant les pensées de l'Imam Khomeini, ils ont souligné les paroles du Guide suprême d’Iran sur la nécessité de soutenir le peuple palestinien et de libérer cette sainte terre de l'occupation sioniste.
Au Ghana, les musulmans et certains chrétiens se sont réunis pour célébrer la Journée internationale de Quds, la décrivant comme un moment charnière dans la résistance contre le régime sioniste.
À Nairobi, la capitale du Kenya, des militants, des diplomates et des chefs religieux se sont réunis pour célébrer la Journée internationale de Quds, renouvelant leur engagement envers la résistance palestinienne et condamnant les crimes sionistes à Gaza.
Cinq martyrs au Nigeria. Les forces militaires nigérianes ont ouvert le feu sur des musulmans d'Abuja qui observaient pacifiquement les marches de la Journée d'Al-Quds, en solidarité avec les Palestiniens.
En coopération avec les ambassades d’Iran au Niger et en Guinée Conakry, la cérémonie de la Journée internationale de Qods a eu lieu le dernier vendredi du mois sacré du Ramadan dans ces deux pays africains, avec la présence des religieux et des activistes nigériens et guinéens.
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