Le renforcement de la coopération judiciaire dans la lutte contre les crimes internationaux par la création d'une « plateforme de partage d'informations judiciaires » entre les États membres pour accélérer la poursuite des criminels et la formation d'une force spéciale conjointe pour lutter contre les réseaux de trafic de drogue, l'harmonisation des lois pour lutter contre le terrorisme par le développement de cadres juridiques pour poursuivre les terroristes et les crimes du cyberespace, le développement de la diplomatie judiciaire par la formation d'un comité conjoint de cybercriminalité pour élaborer des normes de collecte de preuves numériques, et l'organisation d'exercices conjoints pour simuler des cyberattaques et la responsabilité judiciaire, figuraient parmi les suggestions du chef du pouvoir judiciaire pour développer davantage la coordination et la coopération juridiques et judiciaires entre les États membres.
Faisant référence aux tactiques de « sanctions » et d'« unilatéralisme » de certains Etats qui menacent ainsi les droits de l'homme, le chef du pouvoir judiciaire d’Iran a déclaré : « Outre le terrorisme, certains pays membres de l'OCS sont soumis à des sanctions unilatérales. L’imposition de ces sanctions constituent une violation flagrante du droit international, de la Charte des Nations Unies et de divers droits de l’homme, tels que le droit à la vie, le droit à l’éducation, le droit à la santé et à la sécurité et le droit au développement. »
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