Baghaei a qualifié la politique de sanctions américaines à l’encontre du peuple iranien de signe évident de l’hostilité persistante des décideurs américains envers la nation iranienne, et d’indifférence flagrante à l’État de droit et aux droits de l’homme.
Il a ajouté : « La dépendance structurelle des gouvernements américains aux sanctions économiques, en tant qu’outil d’intimidation et de pression politique contre les pays en développement, constitue une violation manifeste de la Charte des Nations Unies et du droit international. Cela affaiblit les fondements de l’État de droit et les règles du commerce libre, tout en entraînant de graves atteintes aux droits humains fondamentaux des peuples visés – notamment le droit au développement – et peut, dans de nombreux cas, être considéré comme un crime contre l’humanité. »
Le porte-parole a dénoncé la poursuite des sanctions économiques contre l’Iran comme un acte illégal et autoritaire, en contradiction flagrante avec les appels au dialogue et à la négociation régulièrement lancés par Washington. Selon lui, cela démontre l’absence de bonne foi et de sérieux de la part des États-Unis dans leurs prétentions diplomatiques.
Baghaei a conclu : « Les sanctions unilatérales contre le peuple iranien constituent une violation délibérée et arbitraire des principes fondamentaux du droit international. Les États-Unis doivent être tenus responsables des graves violations des droits de l’homme découlant de ces mesures criminelles. »
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