Il a qualifié cette action de « illégale, injustifiable et contraire aux normes juridiques internationales », exprimant ses regrets quant à l'alignement du Paraguay sur les politiques anti-iraniennes du régime d'Occupation israélien. Il a souligné la responsabilité internationale du Paraguay pour cette violation.
Issa Kameli a affirmé que la décision politique du gouvernement du Paraguay constitue une mesure dangereuse, conçue et mise en œuvre sous la pression du régime israélien, visant à détourner l'attention publique du génocide à Gaza. Cette action, selon Kameli, représente une forme de complicité des responsables paraguayens avec les criminels qui sont sous enquête de la Cour pénale internationale.
Il a également rappelé le rôle prestigieux, fortifiant et honorable du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) en tant que partie des forces armées officielles de la République islamique d'Iran, ayant joué un rôle unique dans la défense de l'intégrité du pays et dans la lutte contre le terrorisme, notamment contre Daech. Kameli a souligné la détermination du gouvernement iranien à prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre la position et la réputation de ses forces armées contre toute étiquette hostile.
Le président du Paraguay, dans une décision soutenue par les États-Unis et le régime israélien, a annoncé que son pays avait décidé d'ajouter tous les groupes Hamas et Hezbollah à sa liste des organisations terroristes, en y incluant également le CGRI.
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