Il a précisé que malgré la formation d’un grand nombre de jeunes talents et des avancées scientifiques importantes, l’Iran n’a pas su pleinement en tirer parti en raison d’un manque d’efficacité dans la transformation des connaissances en produits commercialisables. Ce projet vise donc à combler cette lacune structurelle.
Cette réunion, qui s’est tenue vendredi après-midi, a rassemblé le chef de cabinet du président, les vice-présidents en charge de l’exécutif, des sciences, de la technologie et de l’économie fondée sur la connaissance, ainsi que les ministres de la Santé et de l’Agriculture.
Le projet de tour ambitionne de devenir :
le plus grand centre de biotechnologie du pays,
le moteur de l’industrie nationale du vaccin,
un hub régional de recherche et de développement dans le domaine vaccinal,
et le principal centre R&D de l’Iran.
Suite à la visite du président au centre de recherche Razi dans la province d’Alborz, la proposition initiale du Dr Pezeshkian a été inscrite comme une priorité nationale, afin de doter le pays d’un écosystème vaccinal avancé, capable d’opérer à la frontière du savoir, tant pour l’homme que pour l’animal.
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