Tehran (IRNA)- Le Jour d'Arbaeen, qui est observé par des millions d'Iraniens et d'Irakiens chaque année, a été le plus grand incarnation des forts points communs culturels entre les deux nations. Il a joué un rôle majeur dans la stimulation des interactions interpersonnelles entre deux pays qui étaient en guerre l'un contre l'autre depuis huit ans. Arbaeen n'a pas été un nouveau rituel. Ses racines remontent à des siècles. Mais la commémorer aux niveaux observés au cours des dernières années est un phénomène absolument nouveau. Pendant le règne de Saddam Hossein, il était interdit aux chiites irakiens de commémorer Arbaeen en grand nombre. Ils n'ont pas pu organiser la Grande Marche d'Arbaeen. Mais après le renversement de Saddam, le nombre d'Irakiens observant Arbaeen n'a cessé de croître. Dans les années qui ont précédé le déclenchement de la pandémie de coronavirus, le nombre de pèlerins arabes a atteint des millions, avec une large participation d'Iraniens.Le Jour d'Arbaeen se déroule environ 40 jours après le Jour de l'Achoura, qui marque l'anniversaire du martyre de l'Imam Hussein (AS), le petit-fils du Prophète Mohammad (PSL) qui a été martyrisé lors de la bataille de Karbala le 10 octobre 680 (Muharram 10, 61 AH), il y a près de 14 siècles.

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