Kazem Gharibabadi, dans un message sur son compte Twitter mercredi, à la suite d'une récente initiative anti-islam d'un politicien suédois intransigeant visant à brûler une copie du Saint Coran à Stockholm, a noté « Le silence assourdissant des soi-disant champions des droits de l'homme vis-à-vis de la profanation du Saint Coran est une illustration flagrante de l'incitation à la haine et de la prolifération de la violence contre les musulmans ».
«De tels comportements n'ont rien à voir avec le droit à la liberté d'opinion.»
Le porte-parole Nasser Kan'ani a également déclaré que la profanation "du livre saint d'un milliard et demi de musulmans est un exemple clair d'incitation à la haine et de propagation de la violence contre tous les musulmans du monde entier. De telles actions n'ont rien à voir avec la liberté d'expression et avis."