Selon lui, cet artefact a été découvert et confisqué par les gardes-frontières de l'aéroport de Stansted, soit après la saisie de cette cargaison.
«Il n'y a qu'une trentaine de ces pétroglyphes identifiés dans le monde, et presque tous appartiennent à la province de Fars en Iran», a-t-il déclaré.
Il a qualifié l'histoire et la civilisation de l'Iran d'étonnantes et, soulignant l'étroite coopération entre les deux musées nationaux d'Iran et du Royaume-Uni, a exprimé son espoir que davantage de monuments et d'artefacts iraniens seraient exposés à Londres à l'avenir.
Les travaux de restauration de cet artefact ont commencé l'année dernière et se sont achevés en 6 semaines environ.
«La statue a été exposée le 26 mars et sera retirée de l'exposition en mai. Ensuite, elle est soigneusement emballée et envoyée à Téhéran via l'ambassade d'Iran», a-t-il déclaré.