Dans une interview accordée au journaliste judiciaire de l'IRNA, Kazem Gharibabadi a déclaré que « le cas de M. Nouri est complètement politique et nous suivons la situation de ce citoyen iranien par diverses méthodes politiques et judiciaires. Nous lui avons fourni des conseils juridiques et, bien sûr, nous nous opposons sérieusement à la poursuite de cette affaire car les droits de M. Nouri ont été violés. »
Gharibabadi a déclaré que le procès dans cette affaire n'était pas équitable et clair : « Les droits de M. Nouri ont été violés en première instance et en appel et la République islamique d'Iran a transmis ses messages à la Suède en termes de droits politiques, juridiques et humains, et c'est notre demande que ce citoyen iranien soit acquitté. »
L'adjoint aux affaires internationales du pouvoir judiciaire de la République islamique d’Iran a souligné : « Les Suédois n'ont pas de preuves et ne défendent qu'un groupe terroriste [OMK], et nous conseillons aux Suédois de ne pas sacrifier leur sécurité et leurs intérêts pour défendre ce groupe terroriste. »