Paris, Toulouse, Bordeaux, Montpellier, Marseille, Metz, Rennes, Toulon, Chambéry, Grenoble, Brest, Rouen, Lyon... Les Français se sont descendus dans les rues, le 23 septembre, en vue de condamner les violences policières et le racisme systématique du régime Macronie.
Selon les organisateurs, 80 000 personnes ont défilé dans toute la France, dont 15 000 dans la capitale, ont affirmé à l'AFP la CGT et LFI, qui appelaient à la mobilisation au côté de dizaines d'organisations dont des collectifs de quartiers populaires, des ONG, des partis mais aussi des syndicats.
Même au-delà des frontières françaises, les partisans d’opposition se sont rassemblés en face de l’Ambassade de France à Berlin contre les dérives autoritaires de la Macronie.
Les familles des victimes des violences policières étaient au cœur des rassemblements dans plusieurs villes. La famille d’Adama Traoré à Paris, la famille d’Amine Leknoun à Lille, etc. Mais cette manifestation pacifique contre la violence des forces de l’ordre a été réprimée par une action violente de la Police nationale.
A paris, une vidéo dans laquelle un policier sort son arme contre les manifestants a circulé sur les réseaux sociaux. Au lieu de sanctionner le policier, le régime français envisage d’ouvrir une enquête contre les manifestants. Les médias français se sont focalisés sur les rares scènes d’actes violents de la part de certains éléments radicaux au rang des manifestants pacifiques en vue de perturber l’opinion publique.