Selon le correspondant de l’IRNA, Mohammad Eslami a déclaré à propos des progrès réalisés dans l'industrie nucléaire iranienne : « L'entrée de la République islamique d'Iran dans le domaine des nouvelles technologies signifie entrer dans la zone interdite. Autrement dit, autant il existe des tensions sur la question nucléaire iranienne, il existe également des tensions sur la question spatiale. Il en va de même pour les autres sciences. »
« Si nous voulons développer le pays et agir selon la dignité du peuple, nous devons être capables de franchir la frontière de la connaissance », a insisté le chef de l’OIEA.
Le chef de l'Organisation de l'énergie atomique a poursuivi : « Nous avons d'innombrables talents dans le pays, et si le gouvernement n'investit pas dans les domaines de la connaissance, ces forces talentueuses n'auront pas la possibilité de travailler. »
« L'industrie nucléaire a placé l'Iran parmi les cinq premiers pays au monde dans de nombreux domaines et rubriques nucléaires. Aujourd'hui, nous sommes en tête de liste en termes de qualité et de pureté de l'eau lourde et nous avons pu avoir une part dans l'approvisionnement et l'exportation d'eau lourde sur le marché mondial » a-t-il renchéri.
Et de souligner : « À partir de la production d'eau lourde, il est possible de fabriquer de nombreux autres produits dans différents domaines, notamment dans le domaine de la microélectronique et la production de certains nouveaux médicaments. »