Selon l'agence de presse palestinienne Sama, le bureau d'information du gouvernement du Hamas basé à Gaza n'a pas considéré l'abandon de l'aide aérienne comme une solution idéale pour éliminer la faim dans la bande de Gaza et a souligné que la seule solution à cet égard est la réouverture des points de passage et du trafic quotidien pour l’entrée de 1 000 camions transportant de l'aide humanitaire vers cette zone.
Le centre gouvernemental de la bande de Gaza a également annoncé que la suspension de l'envoi d'aide au nord de Gaza équivaut à l'exécution d'une condamnation à mort contre 700 000 Palestiniens dans cette région.