Le chef du CGRI lors de la guerre imposée 1980-1988 assure que l’Iran ne cherche pas une guerre contre le régime sioniste mais la Résistance répond certainement à l’aventurisme des ennemis.

Faisant référence à la réponse de Téhéran à l’attaque criminelle d’Israël contre le consulat iranien à Damas, ce membre du Conseil de discernement a déclaré : « Nous ne voulions pas le déclanchement d’une guerre. »

Evoquant l’assassinat de Haniyeh par Tel Aviv, Rezaei a ajouté : « Cette action recevra une réponse sévère. Nous attendons maintenant le moment convenable pour répondre. »

Parlant l’agression sioniste contre le sud-Liban, cet ancien général du CGRI a déclaré : « Maintenant, cette guerre s'est étendue au Liban. Les ennemis prennent toutes les mesures pour amener l'Iran dans la guerre afin de perturber la politique de non-participation à la guerre de la République islamique. »

Concernant l’explosion des bipeurs au Liban, Mohsen Rezaei, secrétaire du Conseil suprême pour la coordination économique des chefs de pouvoir, a écrit sur sa page X : « Le régime sioniste a consommé en quelques jours ses 20 années d'efforts de renseignement et d'infiltration au sein du Hezbollah. Le mouvement Hezbollah est une structure d'innovation, de créativité et de flexibilité ; Les effectifs du Hezbollah ne seront pas épuisés avant les 100 prochaines années. Vous verrez ses effets très bientôt. »