Téhéran (IRNA) – Lors de la 36e édition de la Conférence de l’Unité islamique, la directrice de l’école sunnite de Agh Ghala (Province Golestan) a analysé la mainmise des lobbies sionistes sur les médias occidentaux qui envisagent de semer de la division au sein de la communauté musulmane dans le monde.

S'exprimant sur le rôle du sionisme international dans la création de divisions entre les pays du monde islamique, Assieh Mirza Ali, directrice de l’école islamique des sœurs sunnite de Agh Ghala (province de Golestan), a déclaré : « Environ 70 ans se sont écoulés depuis la formation du régime illégitime sioniste dans la Palestine occupée. Les sionistes ont une très grande influence dans les médias internationaux. Des sionistes et des puissants arrogants se sont imperceptiblement infiltrés dans la vie des citoyens [européens et nord-américains] et ont causé la misère humaine. Cette influence sioniste se situe dans différents domaines, le premier domaine est la domination de l'espace culturel et civilisationnel occidental sur toutes les relations matérielles et culturelles de l'ère moderne, qui cherche la disparition des autres espaces culturels et civilisationnels de différentes nations. »

« Le deuxième domaine de la mainmise sioniste est le leadership direct et indirect des dirigeants des sociétés secrètes maçonniques et sionistes sur les organisations et institutions internationales dans les domaines culturel, économique, juridique, politique, sanitaire et alimentaire, telles que les Nations Unies et la FAO la Banque mondiale est le Haut-Commissariat aux droits de l'homme, le Fonds monétaire international et l'organisation scientifique et culturelle de l'UNESCO. », a ajouté cette activiste islamique.

Considérant que la troisième sphère d'influence du sionisme est la domination juive sur le système économique et financier du monde, Mirza Ali a précisé : « Les sionistes dominent tous les charretiers et les multinationales par le biais des banques et en d'autres termes dominent tous les actifs du monde. En fait, toutes les sphères culturelles, économiques et politiques du monde occidental et par conséquent du monde ont mis les opprimés sous leur contrôle. »

Selon lui, le quatrième domaine est la domination des tyrans sionistes sur le plus grand système médiatique du monde, y compris Internet, les chaînes de radio et de télévision, la presse et les agences de presse de l’échèle mondiale. En 1976, un Juif qui était professeur de droit international en Allemagne a fondé une société secrète pour les Juifs et l'a appelée la Société Nuraniyan. Les noms de Reuters, AP et France Presse sont connus dans le monde du journalisme pour les agences de presse du monde entier, et ces grandes entreprises sont chargées de fournir la plupart des informations qui alimentent tous les médias écrits et non écrits du monde. Reuters a été fondée par un Juif influent en Angleterre, et AP a été fondée en 1848 sous le contrôle du mouvement juif, qui alimente aujourd'hui plus de dix mille journaux dans 109 pays avec ses nouvelles. L’Agence France Presse a été fondée en 1835 par les juifs de France, cette agence de presse a couvert plus de 152 pays. »

Le directeur de l’école des Sœurs sunnites de la ville Agh Ghala, a déclaré qu'en matière de télévision, les noms des trois chaînes sionistes ABC, CBS et NBC, ainsi que des milliers de chaînes et stations de radio et de télévision américaines, sont mentionnés dans la sphère de la défense des valeurs du sionisme. »

« Ces médias sont devenus la référence des valeurs morales et de la culture des différentes nations du monde. La diffusion des musiques non conventionnelles, la promotion de l'usage des stupéfiants s'inscrit dans cette culture pour différents pays du monde, notamment les pays islamiques. Par conséquent, il n'est plus possible de considérer la propriété juive des plus grandes et des plus prestigieuses sociétés d'Hollywood comme une coïncidence, car le contrôle de ces sociétés est une partie importante de la stratégie et du complot du sionisme pour contrôler l'opinion publique et laver les cerveaux des nations. », a conclu cette spécialiste iranienne des questions médiatiques et religieuses.