Suite aux signalements d'empoisonnements dans certaines écoles, la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock a lancé vendredi une nouvelle campagne d'ingérence contre la Révolution islamique, rejoignant certains pays dont les Etats-Unis.
Baerbock a déclaré sur Twitter : "Les filles doivent pouvoir aller à l'école sans crainte", ajoutant : "Ce n'est rien de moins que leur droit humain. Tous les cas doivent faire l'objet d'une enquête approfondie.
En réponse à son tweet, la porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, a tweeté vendredi qu'il reste encore des faits amers à dévoiler, à savoir l'empoisonnement chimique par les gaz toxiques allemands pendant la guerre imposée par le despote irakien, Saddam Hussein, dont le gouvernement allemand devrait être tenu responsable.
Il a ajouté qu'une telle action malveillante fait toujours l'objet d'une enquête et que le gouvernement iranien est catégorique et sérieux pour identifier les raisons dans le but de la déraciner.
Kanaani a également noté que l'Iran ne permettra jamais à personne de semer l'insécurité parmi les écolières iraniennes avec des motifs politiques.