Dans un communiqué publié mardi soir, le ministère iranien de l'Intérieur a déclaré qu'en coopération avec différents appareils de sécurité, certains agents liés à l'étranger avaient été arrêtés pour avoir empoisonné des écoles dans plusieurs villes du pays.
Le communiqué indique en coopération avec le CGRI et la police du pays ainsi qu'avec les appareils de renseignement des provinces du Khûzistân, de l'Azerbaïdjan occidental, du Fars, de Kermânchâh, Khorasan et Alborz, un certain nombre d'individus qui fournissaient et lançaient des "agents incendiaires" parmi les étudiants ont été identifiés et arrêtés.
Il a en outre déclaré que les forces de sécurité et de renseignement avaient découvert que dans une équipe de quatre personnes détenues pour l'acte de crime contre des écolières, trois d'entre elles avaient déjà été détenues lors des récentes émeutes soutenues par l'étranger pour leur rôle de premier plan dans le émeutes d'automne dans le pays.
Selon le ministère de l'Intérieur, l'un des individus interpellés avait donné le matériel pour le diffuser parmi les écolières puis filmé les élèves concernés dans les deux écoles et plus tard à l'hôpital, suivi de l'envoi des vidéos aux chaînes de télévision anti-iraniennes basées à l'étranger pour publier les films dans le but de semer la panique dans la société.
Le ministère de l'Intérieur a en outre assuré à la noble nation iranienne qu'il traduirait en justice ceux qui menaçaient la santé mentale dans la société par leurs actions lâches contre des écolières adolescentes.
Le ministère a en outre déclaré qu'après avoir mené une enquête plus approfondie, il informera le public de ses autres conclusions.
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