Le régime français est de plus en plus incompétent dans le contrôle sécuritaire du pays. Les trafiquants de drogue et des dealers dominent les grandes villes. Et la police nationale est plutôt préoccupée par la répression des manifestations pacifiques du peuple en colère contre l’injustice sociale.
Un homme rentrait d’un restaurant à Nîmes avec ses deux neveux quand sa voiture a été criblée de balles cette nuit au sein d’un quartier connu pour son trafic de stupéfiants, rapporte La Tribune de Genève.
Un enfant de 10 ans est mort lundi soir, victime d’une fusillade à Nîmes (Gard), à Pissevin, un quartier populaire gangrené par les trafics de stupéfiants, a-t-on appris mardi de sources policières et proches de l’enquête.
Ce quartier de Pissevin est le même où un homme de 39 ans avait été abattu en janvier, déjà dans une fusillade sur fond de trafic de stupéfiants. Selon des chiffres de l’ancien procureur de Nîmes, Eric Maurel, une quinzaine de règlements de comptes avaient fait huit morts à Nîmes en 2020 et trois en 2021, la plupart dans les quartiers de Pissevin, du Chemin Bas et du Mas de Mingue, trois secteurs périphériques de Nîmes constitués de barres d’immeubles et de tours.
Les criminels étaient à bord d’un véhicule volé qui a été retrouvé quelque temps plus tard à proximité. La police n’a pas encore pu arrêter les tireurs.
En France, les trafiquants ont accès à des armes de guerre, notamment des fusils d’assaut de type Kalachnikov AK-47 ou M-16.
Une atmosphère d’insécurité règne dans les zones périphériques des grandes villes en France.