Ghorbabadi, qui est à Damas, lors de la visite du bâtiment du consulat iranien détruit après l'attaque sioniste brutale du premier avril, a déclaré que lors de ses entretiens avec les responsables syriens, l'affaire contre les criminels sionistes serait poursuivie dans le cadre d'un suivi conjoint de cet incident terroriste par les organisations internationales et les forums des droits de l'homme.
Soulignant que le ciblage du bâtiment du consulat iranien à Damas constituait une violation des conventions internationales et des dispositions de la charte des Nations unies, M. Gharibabadi a déclaré : Le régime sioniste ne respecte même pas les engagements stipulés dans la Convention de 1961, qui fait référence à la préservation et à l'immunité des locaux diplomatiques et des diplomates, ainsi que dans la Convention de 1973, qui définit les personnes bénéficiant d'immunités internationales.