L’Iran et la Turquie discutent de deux types de situations. Lorsqu'il y a consensus, nous coopérons. En cas de divergence d'opinions, nous cherchons une solution par le dialogue. Si aucune solution n'est trouvée, nous nous efforçons de bien nous comprendre pour éviter les malentendus, a déclaré jeudi le chef de la diplomatie iranienne dans une interview accordée au magazine Al-Arabi Al-Jadeed.
Je continuerai à contacter d'autres pays influents, ayant des intérêts légitimes et communs, ou des préoccupations partagées, comme la présence de leurs ressortissants dans les groupes takfiri. En général, le monde islamique et la région ont besoin d'une vision unifiée, notamment sur des questions telles que le terrorisme ou la gestion du régime sioniste, qui est à l'origine de la crise, a ajouté Araghchi.