Esmaïl Baghai a écrit sur son compte sur le réseau social X au sujet des conséquences de l’extension des sanctions unilatérales des États-Unis aux institutions internationales (notamment la Cour pénale internationale), qu’il a qualifiée de complicité dans les crimes d’Israël : « L’addiction des États-Unis à l’application extraterritoriale de leurs lois nationales vise désormais les institutions internationales. »
Baghai a souligné que sanctionner la Cour pénale internationale pour avoir enquêté sur les crimes odieux d’Israël constitue une bassesse sans précédent dans l’histoire de la complicité de longue date des États-Unis avec le régime occupant et raciste, qui a commis toutes sortes de crimes dans le but d’un « effacement colonial » de la Palestine.
Il a ajouté que ces sanctions contre la Cour de La Haye sont un exemple flagrant d’abus de pouvoir visant à garantir une impunité totale à Israël, lui permettant ainsi de commettre davantage de crimes et de menacer la paix et la sécurité internationales.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a insisté sur le fait que la communauté internationale doit être consciente de ce danger et y réagir de manière appropriée.